Il faut savoir que le système actuel de détection est une des plus grosses impostures et une fumisterie dont la médecine moderne est spécialiste. Selon le Dr Gernez, père de la découverte des cellules souches dans les années 70 dont les travaux ne sont que récemment reconnus alors qu'ils étaient connus et publiés dès cette époque, un cancer se déclare huit ans et demi avant que la machine s'emballe pour de bon. Dans cet espace de temps, on passe de deux cellules à un milliard. Mais il n'est détectable par rercherche approfondie suite à une suspicion sérieuse qu'environ deux ans et demi avant d'atteindre ce stade d'un milliard de cellules, moment où il devient létal à quasiment 100%. Il ne s'agit donc pas de "détection" mais de "constatation" du désastre à la suite de laquelle tes chances de survie sont réduites de 0 à 50% selon les stades et autres spécificités de la maladie. Il faut donc faire une prévention systématique, tous les ans, avec un régime et des compléments spéciaux pour stopper le processus lorsqu'il n'y a encore que quelques dizaines de cellules. Évidemment, le résultat sera que tu n'auras pas cette maladie sans pour autant savoir définitivement si c'est dû à cette prévention ou à la loterie de l'existence.
Ce grand médecin a créé un protocole très précis et pointu qu'il a même présenté au ministère de la Santé de l'époque. Son interlocuteur, conseillé par des scientifiques de haut niveaux a trouvé cela "merveilleux" (ce sont ses mots) mais n'a pas voulu donner suite en arguant d'excuses bidons relatives à l'éthique, au trouble social en cas de publication officielle et autres prétextes complètement farfelus. Tous les documents prouvant ces faits existent.
A parte - La pression des groupes pharmaceutiques dont nous subissons les horribles conséquences ne date pas d'aujourd'hui et nous savons très bien que depuis De Gaulle, les gouvernements successifs sont remplis de crapules (pas seulement les présidents) jusqu'à aujourd'hui où ils sont devenus de véritables terroristes quoique simples bras armés de la haute finance.
Nous savons aussi très bien que les rayons X utilisés pour la détection du cancer du sein, du poumon et autres peuvent eux-mêmes être vecteurs de cancers.
Suivre le protocole mis au point par le Dr Gernez, étant donné le monde médical qui le rejette tout en s'inspirant de ses travaux, n'empêche en rien d'effectuer des tests de dépistages comme préconisés par les systèmes classiques, mais au moins a-t-on fait son maximum en termes de prévention. Le reste, vous le connaissez : pas de sel, pas de gras, pas d'alcool, pas sucre, pas d'émotions négatives, pas de viande... Bref, faites-vous bien chier ! 🙂 Maintenant c'est mieux : ne respirez plus, pas de restau, pas de culture, pas de câlins, pas de relations sociales, pas de voyages, pas de cinéma, moins de travail, plus de pauvreté... Ce n'est que le début et re-bref, suicidez-vous !
Les filles, il y a beaucoup de moyens pour surveiller vos seins, en plus du régime préventif du Dr Gernez. Tenez votre bassin correctement pour tenir votre poitrine et respirer vraiment (ceux qui font du yoga avec moi doivent avoir marre d'entendre ça, pourtant mon propre prof est encore pire !), arrêtez le soutien-gorge (sauf pour les très fortes poitrines), débarrassez-vous des prothèses mammaires s'il en est, évitez les perturbateurs endocrinien, palpez vos seins régulièrement tout en sachant que si vous trouvez quelque chose c'est déjà un peu tard, et pratiquez l'amour, les pensées positives, le don, la générosité sans modération.
Ce qu'il faut comprendre de tout cela, c'est que nous avons tous des cancers, ils sont là, dormant, tapis au creux de nos cellules et attendent leur heure. Quand le terrain est favorable, la fête commence, mais tu ne peux pas le savoir. Et quand tu le sais, cinq ans environ après de début du processus d'emballement cellulaire, c'est souvent trop tard.
Mais ceci, ce contrepied de la médecine actuelle que je viens de détailler, n'est qu'un autre point de vue. Il est intéressant pour s'enrichir et élargir le champ de nos connaissances. Toutefois, c'est un système qui répond à un autre système et ça ne me convient pas vraiment. Je voudrais aller plus loin en vous parlant de
L'aliénation incessante due au conditionnement profond
Nous sommes chacun très profondément conditionnés par notre éducation, notre culture et en somme par nos croyances. Lorsque nous en avons conscience, nous faisons naturellement de grands efforts pour nous débarrasser de ces croyances limitantes, et cela se retrouve dans tous les dharmas et la spiritualité en général. Hélas, quand le travail semble être réalisé, nous pensons nous être approché de la vérité et/ou d'une pensée juste. Quelle blague ! Cela n'est rien de plus qu'une nouvelle croyance car nous oublions que les croyances sont engrammées d'une façon extrêmement profonde dans toutes les couches de notre conscience. C'est au plus profond de la conscience que se tiennent les racines des croyances mais elles ne se perçoivent pas. Combien de chercheurs spirituels ont démasqué et liquidé leur croyances limitantes et continuent d'avoir une vie merdique ? Presque tous !
Les croyances constituent un système global, cohérent et autogène. Je crois qu'il faut observer cela en inversant la proposition : tous les systèmes reposent sur des croyances. Il n'y a donc pas moyen de trouver la vérité sauf à commencer à douter de tous les systèmes quels qu'ils soient, puis à la suite de cette démarche à renoncer à chaque nouvelle croyance qui va survenir et viendra de plus en plus loin des profondeurs de notre conscience et se présentant aussi par le monde extérieur (puisque les deux sont un). Nous devrions nous détendre et nous laisser couler jusqu'à ces premiers voiles de notre psychogénèse où nous avons laissé la Claire-Lumière se masquer, peu importe les raisons.
C'est très important. Le "j'ai compris !" n'offre aucune garantie de justesse. Déjà, qui tu es, toi, pour avoir compris quoique ce soit ? C'est une sorte de divertissement sournois : on pense qu'on a évolué, qu'on s'est rapproché de la vérité, qu'on jouit de plus de maturité, de sagesse, d'ouverture, et blablabla... Cela te rassure et t'apporte une satisfaction temporaire, en fait ça te tue spirituellement à petit feu et sur ton lit de mort tu seras seulement dans la terreur de l'aberration de la vie et de ta pitoyable existence.
Un des pères de l'apophatisme est le Bouddha, et ses suivants bien sûr. Je conseille toujours de diriger sa propre pensée dans cette perspective apophatique car "ce-qui-est" ne peut être défini que par la négative. Lorsque nous comprenons que "les montagnes ne sont pas des montagnes" selon le second vers du fameux koan Zen, une porte s'ouvre... Nous devons nous débarrasser de tout attachement à ce que le mental et les autres systèmes alentours nous présentent constamment, et trouver en chaque instant "ce que cela n'est pas" et non "ce que cela est". C'est comme un striptease infini. Et à chaque effeuillage, à chaque abandon de telle ou telle certitude, le cœur se détend, la joie se lève et l'espace de la conscience s'ouvre. Ce qui autorise un certain vertige, puis l'extase, puis la vacuité, puis la suspension, puis la (Claire)-Lumière, l'Amour et le Frémissement des Apparences. Oui, les "Apparences" parce qu'il y a bien... tout, mais ce n'est pas le même tout.
Nous avons été éduqués pour adhérer et obéir à des systèmes, encore une fois c'est presque génétique. Nous devrions créer ou adopter un cadre simple, cohérent et protecteur, c'est le rôle d'un Dharma, sa discipline et les "moyens habiles" qu'il est censé offrir. Et une fois installé dans ce cadre, désapprendre continuellement et éduquer toutes les couches de la conscience à goûter aux choses et pensées en connaissance de ce que "rien de cela n'est Cela". Il n'est pas nécessaire d'aller plus loin, c'est largement suffisant pour amorcer le processus de ce soit-disant Éveil dont il apparaîtra soudain qu'il est déjà là, partout, libre de toute croyance et de tout système.
Certaines méditations, en fait toute la méditation enseignée par le Bouddha est fondée sur le principe de l'apophatisme, ce qui en fait un enseignement puissant, radical et conquérant menant à la Libération en quelques années, sauf pour les couards.
J'espère qu'à une prochaine retraite nous pourrons mettre cela en pratiques concrètes.
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Note 1 - Si vous vous intéressez aux travaux du Dr Gernez : Le Scandale du siècle, vidéo/DVD produit par Jean-Yves Bilien, 2007-2008.
Note 2 - Définition du mot "apophatisme" - L'approche apophatique (du substantif grec ἀπόφασις, apophasis, issu du verbe ἀπόφημι – apophēmi, « nier ») est fondée sur la négation. En dérive une contemplation négative, approche qui insiste plus sur ce que le Réel n'est pas que sur ce qu'est le supposé Réel. Elle se situe à l'opposé de la pensée cataphatique, ou positive qui constitue le fonctionnement mental de la plupart des terriens.
Tous les courants monothéistes ont eu leurs approches apophatiques de Dieu en leur temps. Dans leur grande humilité, ils oublièrent de mentionner qu'ils empruntèrent de près ou de loin cette approche au Bouddha Lui-même, précurseur de l'apophatisme (on trouve aussi cette dialectique dans quelques textes sacrés de l'Hindouisme). Pour illustration et inspiration, voici pour exemple un extrait ressortant du processus apophatique du célèbre sûtra du Cœur. Lorsque je dis "ressortant", c'est en manière de spécifier que le discours qui suit découle d'une compréhension profonde du coeur du Dharma du Bouddha, à savoir la Vacuité d'existence propre (Shunyata) bien éprouvée dans l'esprit et même le corps et qui s'exprime ainsi "ceci n'est ni-existant ni non-existant" :
"(...) La forme est vide, le vide est forme, le vide n'est autre que la forme et la forme n'est autre que le vide,
De la même façon les sensations, les représentations, les formations mentales et la conscience sont vides.
Voilà pourquoi au sein de la vacuité il n'y a pas de matière, de sensations, de représentations, de formations mentales ni de consciences, il n'y a ni œil, ni oreille, ni nez, ni langue, ni corps, ni esprit ; il n'y a ni forme, ni son, ni odeur, ni saveur, ni contact, ni phénomène mental.
Ainsi, Shariputra, tous les phénomènes sont vacuité. Ils n'ont ni caractéristiques ni origine ni fin. Ils sont sans impureté, libres de toute impureté. Ils n'augmentent ni ne diminuent.
Il n'y a pas de domaine de l'œil, pas de domaine du mental, pas de domaine de la conscience mentale. Il n'y a pas d'ignorance, pas de fin d'ignorance, pas de vieillesse-et-mort ni de fin de la vieillesse-et-mort.
De même il n'y a ni souffrance, ni origine de la souffrance, ni cessation de la souffrance, ni voie. Il n'y a ni sagesse, ni réalisation, ni non-réalisation (...)"
Note 3 - Le Koan à méditer :
"Au début, les montagnes sont des montagnes,
Puis, les montagnes ne sont pas des montagnes,
Enfin, les montagnes sont des montagnes."
