Demain, jour de mon anniversaire, je vais avoir le droit à un scann pour bilan... et la validation d'une année supplémentaire à laquelle je n'ai pas toujours cru. Youpi ! A part cela, je me remets au CBD parce que la morphine ne fait pas effet assez longtemps, dix heures au lieu des douze prévues pour couvrir une journée entière à raison de deux prises. Ça me permettrait de faire le joint entre ces deux prises, c'est le cas de le dire. 😉 On verra...
J'ai du mal à écrire en ce moment, mais je ne veux pas me forcer. Et puis, il se passe des transformations dans l'ombre de mon esprit dont je préfère attendre que ça soit plus identifiable.
Nous devrions constamment, nuit et jour, porter notre attention sur le fait notable que tout ce qui existe et arrive à l'intérieur comme à l'extérieur de notre être appartient au monde relatif. Si nécessaire, nous devrions même nous forcer à maintenir cette contemplation-là. Au moment de la mort, il sera trop tard. Quand nous avons conscience du monde relatif, l'attachement, la crainte et la stupidité desserrent leur étaux. Et cette détente laisse la joie naturelle s’installer et s'épanouir sans effort. La souffrance vient seulement du fait de confondre le relatif et l'absolu. Uniquement cela. C'est pourquoi le vrai Dharma est aussi simple à pratiquer.
Dans cette confusion, on ne trouve et on ne s'alimente que du karma. Dans la distinction claire, c'est le Dharma. Accroche-toi petit Scarabée ! Ne laisse jamais rien ni personne distraire cette contemplation !
